Dans la fosse, Susanna Mälkki fait des miracles avec une partition pourtant à la limite du jouable. L’orchestre sonne admirablement, sans que les particularités du langage janačékien soient édulcorées.

Forum Opéra

Dans la fosse, Susanna Mälkki fait des miracles avec une partition pourtant à la limite du jouable. L’orchestre sonne admirablement, sans que les particularités du langage janačékien soient édulcorées. Osons une mention toute particulière aux cuivres sous et sur la scène, dont les fanfares hallucinantes sont exécutées avec une remarquable précision.

Forum Opéra

“Susanna Mälkki dirige solistes, orchestre et chœur (pour une courte intervention finale) avec maîtrise et puissance, faisant ressortir les couleurs des pupitres mais osant peu descendre jusqu’au piano. Il faut dire que l’orchestration de Janáček est généreuse, mettant en avant le brillant des cordes et des cuivres. La direction est donc elle aussi remarquée par un public un peu clairsemé en ce soir de première, mais qui applaudit avec enthousiasme y compris l’équipe de mise en scène.”

Ôlyrix

“La partition électrisante se déploie magnifiquement sous la direction de Susanna Mälkki.”

Publik Art

“L’ensemble de la distribution est à la hauteur de chacun des rôles (avec une mention spéciale pour l’émouvant Peter Bronder), tout comme Susanna Mälkki à la tête de l’orchestre, qui donne ce qu’il y a de meilleur à cet opéra qui valorise plutôt les cuivres et les cordes sans beaucoup de nuances, et qui ne comporte pas de grands airs, raison pour laquelle sans doute cet opéra suscite aujourd’hui moins d’intérêt qu’à sa création qui fut un succès.”

Un Fauteuil Pour l’Orchestre

“…come nel caso dell’Orchestra dell’Opéra de Paris sotto la guida della finlandese Susanna Mälkki che ne restituisce una versione ricca di colori, drammatica e sensuale insieme, dai suoni puri, taglienti, quasi disperati.”

Giornale della Musica

“Saluons une fois encore la direction au geste ample et inspiré de Susanna Mälkki, qui parvient à unifier cette partition ardue, faite d’une myriade de cellules accolées les unes aux autres et où les précieux moments de lyrisme se gorgent de douleur pour mieux s’accorder au drame.”

Concert Classic